Basket Club Douarnenez Tréboul

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Follement BCDT

 
Basket-Ball. 16ème finale de la coupe de Bretagne. Douarnenez Tréboul (Pré-région) - Etendard de Brest (N3M) 
Mardi 18 février. Le Basket Club Douarnenez Tréboul s'est mis dans la lumière, ce dimanche, en 16ème finale de la coupe de Bretagne, face à l'ogre Brestois de l'Etendard. La bataille a fait rage sur un quart-temps pour contenir un maximum la déferlante adverse de points (31-28, 10'). Partis avec 20 points d'avance, les Douarnenistes ont logiquement baissé pavillon. L'essentiel était ailleurs. La joie de s'être mesuré à des joueurs de national, la communion avec leur public peinturé de jaune et vert, et leur bonne humeur dévorante ont fait passer un excellent dimanche aux 250 spectateurs, dans cette salle omnisports, qui n'a rien perdu de son charme.

Issu d'une fusion en 1987, le BC Douarnenez Tréboul s'arme d'un esprit de camaraderie et d'un profond attachement de ses joueurs à un club pour tracer sa route, dans ce dédale du championnat et de la coupe. Ce dimanche, un match de gala les opposait à l'Etendard Brest, une équipe référence en Bretagne, avec l'Ujap Quimper, Saint-Brieuc, l'Union Rennes et le CEP Lorient. Les Douarnenistes avaient juste l'ambition de se faire plaisir et profiter un maximum d'une avance confortable de 20 points, au coup d'envoi, eu égard aux quatre divisions d'écart.

La bande de Loïc Raphalen prirent même 22 points d'avance avec le premier panier raquette du pivot Romain Gourlay. La déferlante brestoise s'est bien abattue, comme prévu, sur le ponton Douarneniste, en défense. La digue a cédé mais l'esprit n'a jamais cessé de perdurer.

" Nous avions anticipé en conséquence en axant nos séances d'entraînement sur la vitesse de balle dans les remontées et le physique. Les Brestois nous ont respectés en amenant leur grosse équipe. Nous avons pris notre pied sur ce match. Dans l'adresse, la vitesse, il y'a un monde d'écart. Nous avions quand même la pression car nous ne sommes pas habitués à jouer devant une salle remplie. Ca s'est vu aux lancers-francs (rires). Nous avons marqué plus de points que Laval, lors de leur dernier match en championnat face à Brest".

Meneur de cette équipe, et auteur d'un petit pont astucieux sur le champion d'Europe de Limoges, en 1993, Jimmy Vérove en fin de partie, Samuel Kerrain explique son attachement à ce club. " Nous sommes pour la plupart Douarnenistes. Romain Gourlay, Alain Durand, Brendan Paris, Loïc Raphalen, notre coach, Guillaume Steenhorst. Même si nous n'habitons presque plus pour la plupart sur Douarnenez, ça reste notre ville et notre club. Et cette salle est mythique. On a même eu très peur de devoir s'exiler à la salle Jean-Marie Le Bris. Avec la tempête, un bout de toiture a été arraché. S'il avait plu, ce dimanche, nous aurions été contraint de changer de salle".

" Il fallait être fort toute la partie"

Cette salle respire en effet, l'histoire. Construite en 1958, elle a vu défiler toutes les générations de sportifs Douarnenistes, qui se sont forgés un moral de sportif, à force d'entraînement et de matchs. Quatrième de leur championnat en pré-région, après un départ raté, le BCDT ne peut plus rien jouer sur la poule retour, d'où le plaisir maximal d'avoir un tel évènement en cours d'année.

Joueur autrefois, coach aujourd'hui, Loïc Raphalen est le moteur de cette âme douarneniste pour le basket-ball. " C'était la fête! Nous avons revu beaucoup d'anciens sur ce match. On est content d'avoir vécu à fond cette aventure. Nous avions sorti une équipe de L1M, Landerneau, juste avant ce match. Il n'y a rien à dire. En face, ça va plus vite, c'est plus rapide et adroit. On a joué le jeu, à fond. Nous relevons la tête sur les derniers mois car nous avions commencé l'année sportive, à court de forme et avec des blessés".

Après un passage d'un an à l'Ujap Quimper (N1M), l'an passé, le Congolais, Jean-Felix Moupegnou retrouvait le Sud-Finistère pour un match avec ses nouvelles couleurs Brestoises. " C'est sympa à jouer! Nous savions qu'il fallait être fort dans cette partie. En face, l'équipe adverse était euphorique. Ce n'était pas un contexte évident. Nous sommes montés en mode diesel sur ce match. Nous avons savouré jusqu'au bout l'ambiance".

Avec des animations constantes, des "pom-pom girls", et un nombreux public, le BCDT a montré toute sa chaleur et la qualité de son accueil. Le championnat reprendra ses droits, après cet intermède si particulier de la coupe de Bretagne. Les Mouettes, surnom des Bécédétistes, ont fait honneur à ce maillot, qui revêt d'un esprit particulier, à celui qui le porte, valeur de générosité et d'amitié pour le groupe. 
Le BCDT a affronté l'ogre Brestois, ce dimanche, en coupe de Bretagne. Battus 77-139, face à 250 spectateurs, les Douarnenistes ont néanmoins vécu à fond cet évènement, comme Brendan Paris, qui a défié dans les airs le pivot Brestois, sous le regard de l'ex-champion d'Europe, Jimmy Vérove.  

 

Le défi Brestois du BCDT

 
Basket-Ball. 16ème finale de la coupe de Bretagne. Douarnenez Tréboul (Pré-région) - Etendard de Brest (N3M) 
Mercredi 13 novembre. De mémoire de bécédétiste, on n’avait plus connu ça depuis les années 1980 : une qualification pour les seizièmes de finale de la Coupe de Bretagne. Et à la clé, la récompense suprême : le droit pour les mouettes pen sardin d’affronter l’Etendard de Brest en personne dans la mythique ( et meetic , car on y fait toujours d’improbables rencontres) salle omnisports douarneniste au fin fond de l’impasse Giocondi.

Mais qu’ont donc réalisé nos bécédétistes pour mériter de défier l’ogre brestois le 16 février prochain ? Leur qualification, ils l’ont obtenue aux dépens de Landerneau (Ligue 1) 81-76, gommant sans mollir un écart de deux divisions qui aurait dû les condamner.

Le secret de la réussite ? « On était persuadé que le match débutait 30 minutes plus tard et on a à peine eu le temps de s’échauffer. Mais du coup, on n’a ressenti aucune pression et on a réalisé le match parfait », confie le meneur Samuel Kerrain. Décidément imprévisibles, ces Douarnenistes ! Capables du pire comme du meilleur, en témoigne leur parcours chaotique en championnat cette saison.

L’Etendard ! Forcément le nom impose le respect. D’autant que cette année, le club brestois exerce une domination sans partage en N3. Et puis, les Nord-Finistériens comptent en leurs rangs des joueurs de la trempe de Jean-Félix Moupegnou l’ex ujapiste ou de Brice Vounang, un Camerounais de 30 ans qui, du haut de ses 2,03 m et de ses 120 kilos, compte 20 sélections en équipe nationale. De quoi effrayer n’importe quel adversaire normalement constitué. Pas les Pen Sardin : « On n’ a peur de rien ni de personne, annoncent malicieusement Sam Kerrain et Othman Chakroun. Pas la peine que l’Etendard fasse des recherches video pour analyser notre jeu. Via facebook, on se charge de leur donner un aperçu de ce que l’on est capable de faire. » Un mot sur la tactique : « Pas question de pénétrer dans leur raquette. Il faudra faire preuve d’une adresse diabolique à 3 points ! »

Non mais sérieusement, les gars. Quel est votre objectif ? « Que l’Etendard nous fasse l’honneur de venir avec son équipe première au grand complet. Sérieusement, c’est notre rêve le plus cher. Que Newsouest relaie notre vœu et peut-être qu’il sera exaucé ! » La balle est dans le camp des Brestois !

Marc Férec 
Les mouettes du BCDT veulent profiter jusqu'au bout de leur envol dans cette coupe de Bretagne, à savoir recevoir les joueurs de l'Etendard au complet, dans sa salle légendaire de l'impasse Giocondi, le 16 février.  

 

Ambiance de fête à Douarnenez

 
Basket-Ball. Basket Club Douarnenez Tréboul.  
La victoire pour un après-midi réussi ! En effet, les seniors gars 1 s'impose face à une vaillante équipe de Guilers, forte en expérience. Après un démarrage poussif, les locaux dominaient les rebonds et conservaient une bonne adresse extérieure. La deuxième mi temps voit la défense adverse plus agressive et plus soudée, tandis qu'ils revenaient alors au score, les bécédétistes ne tremblaient pas sur la ligne des lancers francs et gardaient leur avantage jusqu'au bout pour s'imposer 83 à 79.

Le tout dans une ambiance électrique, plus de 150 personnes étaient venues encourager les jaunes et verts, à noter la présence du speaker de l'UJAP, Alain Bossard, qui assurait la musique, les commentaires et les nombreux lots à gagner, mais aussi l'inauguration de la mascotte ou bien encore la présence de deux joueurs professionnels de l'UJAP, Bassa Doumbe et Davy Cevadille qui ont donné le coup d'envoi et surtout rendu heureux les nombreux jeunes présents dans les gradins; papiers, stylo et appareils-photos étaient de sortie. Cet après midi s'est achevée par une galette des rois, dégustées par tous, dans la bonne humeur. A noter la victoire des seniors 2 contre Pont l'Abbé 67 à 48 et la défaite des seniors filles 47 à 40.  
L'ambiance était à la fête, dimanche après-midi, à la salle de Douarnenez. Crédit photo: DR  

 

 

Les Bécédédistes impressionnent à Lorient

 
Basket-Ball. Basket Club Douarnenez Tréboul. Départemental. 
Après une préparation physique rondement menée sous la houlette de Yves Kervarec, les bécédétistes entamaient leur saison par un tournoi, très bien organisé par l'ASAL LORIENT. Malgré les douleurs musculaires contractées au fil de la journée, les joueurs d'André Le Berre ont su trouver les ressources pour venir à bout de Ploemeur et ainsi rafler leur deuxième tournoi en l'espace de quatre mois (ndlr : tournoi de Ploudalmézeau en avril). Durant la journée, les "mouettes" ont su disposées du Folclo Lorient (PRM), de l'ASAL Lorient (D2M), ainsi que de Ploemeur (PRM) à deux reprises. Les ambitions sont d'ores et déjà affichées. En effet, le lendemain, pour leur premier match de coupe du Finistère, les coéquipiers du capitaine Guillaume Steenhorst ont brillament remporté la rencontre contre l'UJAP 4 (PRM) 93 à 64. Prochain match à Morlaix en coupe du Finistère ce samedi.

Mathieu Galbrun en dernière recrue estivale. Après l'officialisation de l'arrivée de Robin Warme, voilà le BCDT qui annonce l'arrivée de Mathieu GALBRUN. Agé de 28 ans, il dépose ses valises sur les rives du Port Rhu afin de retrouver ses sensations. En effet, il a fait ses classes au SCM du MANS en minimes France, puis en cadets France avant d'exceller en espoir PRO A du Mans SB. Avant une légère pause, il décide de rechercher un club alliant ambiance et niveau de jeu et choisit Douarnenez pour revenir à son niveau. Doté d'un physique impressionnant (1m90, pour 2m d'envergure, et 95 kgs), c'est un élément qui était alors absent de l'effectif douarneniste. Loic Raphalen, entraîneur des "mouettes" nous rapportait qu'il sera un pion essentiel du groupe, qu'il pourra rivaliser avec d'autres "colosses" avec qui, auparavant, nous faisions pas le poids. Cet homme est généreux dans l'esprit et dans le jeu, il se décrit commme une personne qui n'aime pas perdre !  

 

Un Tournoi de Basket–ball 3x3, ce dimanche.

 
Basket-Ball. Douarnenez Tréboul.  
Cet évènement se déroulera en plein air sur la place des 4 frères Kerivel à Tréboul de 10h à 19h. L’inscription des équipes peut se faire, préalablement par mail (mutombo@wanadoo.fr) ou par téléphone (06 62 52 51 99) ou même sur place le jour du tournoi (10 €/équipe).Ce tournoi est ouvert aux équipes masculines et aux équipes féminines de plus de 16 ans.

Cette manifestation sportive sera complétée d’un vide grenier avec une entrée gratuite afin de dénicher quelques bonnes affaires !! Il y aura aussi des animations ouvertes à tous (concours de lancers, école de basket pour les enfants…).

Restauration et boissons sur place pendant toute la durée du tournoi !!

Venez nombreux avec ou sans vos baskets !!!! 
Le BCDT organise son tournoi 3X3, ce dimanche.  

 

Robin Warme arrive au BCDT

 
Basket-Ball. Basket club Douarnenez Tréboul. Championnat prérégional.  
Après plusieurs mois de négociation, le basket club Douarnenez Tréboul a officialisé la signature de Robin Warme dans son effectif. Ce joueur de 26 ans, ayant fait ses classes à l'UJAP Quimper depuis ses 16 ans est caractérisé par son envie de se surpasser, de progresser, et sa haine de la défaite.

Loic Raphalen, le coach des mouettes douarnenites confirme "il n'est pas très grand, 1,68m, mais il est grand par sa générosité, il est très polyvalent avec de bonnes qualités de vivacité, de vitesse, d'adresse et de percussion, des éléments qui manquaient en nombre dans notre équipe". Sa polyvalence se caractérise aussi par sa position sur le terrain, il peut jouer meneur, arrière ou à l'aile.

Robin, à sa signature, nous confiait : " J'ai choisi le BCDT car ça fait un moment que le club m'attirait, tant dans son niveau de jeu, que dans sa convivialité" et ne manquait pas de rajouter un petit mot sur ses ambitions : "J'attends de l'équipe un niveau de jeu intéressant dans l'espoir d'une montée. Je souhaite aussi progresser en tant que joueur mais aussi en tant qu'homme. " L'objectif est lancé avec ce renfort de poids au sein du club. Premier match de championnat le 22 septembre contre Rosporden, avant de recevoir, le week end suivant...l'UJAP !  

 

Le basket à l'état pur

 
Basket-Ball. Immersion noctambule au BCDT (Basket Club Douarnenez Tréboul) 
« Je t'envoie en mission au BCDT ! » « Où ça ? Au BCDT !?? » Il a fallu que je ravale mon orgueil de grand reporter pour me fourvoyer, samedi soir, dans les entrailles de l'obscure salle omnisports douarneniste. Mais Christophe, mon rédacteur en chef à News Ouest, à grand renfort de formules toutes faites : ''Tu verras, les p'tits clubs, c'est aussi sympa que les gros'', et Marine ma fille, meneuse de la dream team penn sardin : ''T'as intérêt à venir me voir jouer'', ont achevé de me convaincre !

En route vers la mythique salle omnisports

Ah ! J'omettais l'essentiel, la signification du sigle. Parce que si je vous dis BCDT, à quoi vous pensez? Hard rock? Après le match, ça ressemble un peu à ça, oui... Quand sur les canapés éventrés du sous terrain club house, on refait le match encore et encore, un verre de vodka au bord des lèvres. Mais le BCDT, c'est aussi le résultat d'une fusion contre nature entre Douarnenistes et Tréboulistes, entre USLD et Gas D'Ys, une fusion autorisée seulement autour d'un club de basket : Basket Club Douarnenez Tréboul… A bien regarder, un mariage qui date tout de même de 25 ans. Bientôt les noces d'or !

Me voilà donc filant le long de la rue Jean Jaurès animée seulement par 2 pochtrons en goguette plus très fringants déjà. J'aborde la rue Jean Bart. Pas âme qui vive ! Aucun pirate en vue. C'est qu'on n'est pas très loin ici de l'île Tristan, le repaire de l'illustre brigand La Fontenelle. Mais voilà que je m'égare. Et que je me gare maintenant tout contre la façade imposante de l'auguste bâtiment. Difficile à débusquer la salle en question, au fin fond de l'impasse Jacques Gioccondi.

Car le BCDT, c'est d'abord une salle. Mythique, n'ayons pas peur du mot ! Aujourd'hui, les soirs de match, elle sonne parfois un peu creux. 15 spectateurs au bas mot. Mais ses murs lézardés portent encore les stigmates des chaudes soirées d'antan. Quand la salle était pleine à craquer. Quand la bande des Mich Auguste et Loic Raphalen défrayait la chronique sportive, faisant trembler les plus gros clubs. Un modèle d'architecture que cette petite salle. On devrait la bichonner, la chérir. Elle fait partie du patrimoine douarneniste, elle a une âme quoi ! Au lieu de cela, on parle de la détruire ! O tempora, o mores (Triste époque!).

Loïc, entraîneur adulé

Le fantôme des lieux, le voilà : c'est Loic ! Loic, c'est l'entraîneur ! Presque aussi mythique que la salle elle-même ! Un pilier de la salle et du club tout entier. Qu'il vienne à vaciller et c'est tout le BCDT qui s'écroule. Mais notre homme a les épaules solides. Une sommité ! D'une compétence sans aucun rapport avec le niveau moyen du basketteur douarneniste (lol). Quand il prend l'ardoise et épluche sa tactique, personne ne dit mot ! On le respecte, Loic ! Et il le mérite bien !

Dans le vif du sujet

Ce soir, c'est le bouquet d'artifice final. Dernière journée du championnat. Ce sont les seniors filles qui ouvrent le bal. Elles jouent à quel niveau déjà les amazones penn sardin ? En D1 ! Mazette ! En jeu, l'avant-dernière place du groupe contre Plouarzel ! Mais ne tremblez pas : le maintien est assuré depuis belle lurette ! Deux équipes ont eu la bonne idée de déclarer forfait général ! Alors les filles de Loïc peuvent jouer libérées. Elles vont pourtant se compliquer le match avant de l'arracher dans le dernier quart temps (60 à 56). Après deux montées successives, le basket féminin a besoin de souffler un peu à ce niveau et le maintien en D1 est déjà une petite perf. en soi pour cette équipe de copines qui marient l'expérience à la jeunesse. Et puis, ce soir, pour Sarah qui fêtait son anniversaire, il n'était pas question de lâcher le morceau ! Sitôt le match terminé, Loïc se fend d'un « Merci les filles », qui va droit au cœur de ses protégées.

« Maintenant, place aux mouettes ! », me souffle un voisin ! Des mouettes, comment ça ? « Tu savais pas, c'est l'équipe masculine, quoi ! » Des mouettes ? Plutôt une bande de goëlands morts de faim ! Le ton est donné par Guillaume, qui n'a pas son pareil pour faire vivre la balle. Et entraîne toute l'équipe dans son sillage ! Guipavas ne voit pas le jour et le match est vite plié. Qui a dit que le basket douarneniste était mort ? Pas moi ! La belle équipe que voilà ! « Mais, dis-moi, mon voisin c'est qui le p'tit nouveau (2 mètres, 100 kilos environ), il est monstrueux non ? » « Lui, c'est Mathieu notre nouvelle recrue, ancien espoir pro du Mans. Il vient de s'installer dans le coin. Il cherchait un club convivial. Il a atterri ici… ». Avec de telles recrues, pas de doute, le club va renverser des montagnes… Il peut prétendre retrouver dès l'an prochain le niveau régional.

Et maintenant… place à la 3ème mi-temps !

Les 10 phrases clés de la soirée :

« Loïc, c'est… Loïc ! » Sarah, joueuse (21 ans, samedi soir)

« Les gens s'étonnent toujours de l'absence de parking, à côté de la salle omnisports. Mais en 1959, il n'y avait quasiment pas de voiture » Jean-Bernard (inamovible président)

« En 6 mois, j'ai tissé plus de relations ici qu'en 3 ans en région bordelaise ! » Guillaume, joueur (et boute en train)

« Une des innovations fondamentales cette saison, c'est la bière d'après entraînement ! » Guillaume et Romain.

« Viens boire un dernier verre !» Nico (5 heures du matin, salle omnisports)

« On forme un groupe, un vrai groupe ! » Encore Guillaume et Romain

« Faites les courir. Elles tiendront pas ! » Loic à ses joueuses, rapport à la corpulence moyenne de l'adversaire !

« Le renard d'or est attribué à… Alain pour l'ensemble de ses tentatives de dunk ratées ! » Guillaume, lors de la remise officielle des récompenses de la saison.

« Qu'est-ce qu'il a dit, Loïc ? » Marine, ma fille, toujours presque aussi attentive à l'avis de son coach qu'au mien !

« Quand on a vu le maillot entièrement déchiré du joueur adverse à la fin du match, on a compris qu'avec Mathieu, on avait embauché le type de joueur qui nous manquait. Un type charmant mais un tueur ! » Sam, meneur du joli jeu douarneniste !

Mouettement votre ! (Comme dirait Guillaume !)

Marc Férec, envoyé spécial News Ouest.  
Vainqueur de Guipavas, les filles de Tréboul assurent leur maintien en D1, après deux montées successives. 

 

 
Une relève de qualité ! 
Tous les mercredis après midi, les jeunes-pousses du BCDT s'entrainent sous la houlette de Léa, Pauline, Amélie, Romane et Maureen. Ils ne font que des jeux et de petits concours, les buts recherchés sont de répondre aux aspirations de l’enfant en développant des formes jouées dans le cadre du basket, c’est aussi d’apprendre à perfectionner sa motricité, son adresse et son contrôle de soi, ou encore de connaître les différentes règles de vie. Depuis quelques années, le club enregistre une augmentation du nombre de création de licence pur le mini basket. De bon augure pour l'avenir du club. 
Pour toutes les informations sur le mini basket vous pouvez contacter Jean Bernard GOURLAY au 02 98 92 47 32.  

 

 
Tournoi la mie caline 
Ce samedi a eu lieu le traditionnel tournoi "La mie caline basket go" parrrainé par Nicolas BATUM. Pour sa énième édition douarneniste, le BCDT recevait 6 équipes garçons et 3 équipes féminines. Le gagnant masculin est Crozon, s'imposant face à Pont l'Abbé en finale, chez les filles, l'EBQC remporte le trophée ainsi qu'une invitation pour le tournoi régional !!

Plateau masculin : Crozon, Pont l'Abbé, Concarneau, UJAP, Douarnenez et Pleuven

Plateau féminin : Douarnenez, EBQC, entente Concarneau/Pleuven
 

 

 

Catherine VILLARD récompensée

La dirigante Catherine VILLARD (a droite sur la photo) a reçu le trophée de sport des mains d'Alain BERNARD, adjoint aux sports, et de Philippe PAUL, maire de DOUARNENEZ.

Ce trophée récompense les personnes dévouées à l'association, pour les remercier de leur investissement. Catherine participe en effet à la gestion des maillots et surmaillots, ainsi qu'aux licences. Sa bonne humeur est alors très logiquement récompensée.

 

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